La lumière blanche est une
radiation polychromatique ce qui veut dire qu'elle est composée de plusieurs couleurs.
Lorsque l'on décompose celle-ci à travers un prisme de verre on obtient un spectre lumineux qui va du rouge au violet (comme l'arc-en-ciel).
A chaque lumière monochromatique, qui ne possède qu'une seule couleur et qui ne peut donc pas être décomposée, on associe une grandeur
physique appelée longueur d'onde s'exprimant en mètres ou en sous-multiples du mètre.
Les
radiations lumineuses visibles ont des longueurs d'ondes comprises entre 400 nanomètres (violet) et 800 nanomètres (rouge).
On appelle donc infra-rouge les
rayons lumineux ayant une longueur d'ondes supérieure à celle du rouge, c'est-à-dire 800 nanomètres, et ultra-violet ceux ayant une longueur d'ondes inférieure à celle du violet, c'est-à-dire 400 nanomètres.
On a plutôt l'habitude de raisonner en fréquence plutôt qu'en longueur d'ondes. Ces deux grandeurs sont inversement proportionnelles. Donc l'infra-rouge a une fréquence inférieure au rouge, d'où le terme infra. Idem pour le violet : en fréquence on est au-delà du violet (ultra-violet)
Complement internaute :
Le spectre de la lumière blanche est donc une série de rayons lumineux de fréquences de 400 nanomètres à 800 nanomètres, et on l'appelle le spectre blanc.
Il existe de nombreuses couleurs dans le spectre de la lumière blanche. C'est l'une des grandes révolution technologiques de l'âge industriel.
Les différentes couleurs sont définies par les fréquences de fréquence de dépénétration.
Ainsi, par exemple, le rouge a une fréquence de dépénétration de 620 nanomètres, le bleu de 570 nanomètres, le vert de 540 nanomètres, le jaune de 545 nanomètres, le vert de 535 nanomètres et le bleu de 470 nanomètres.