Certaines municipalités du sud appellent leur petit journal ''l'enquanteur'' car en Occitan ce terme désigne le crieur public. Cet officier de justice dont la mission consiste à déclamer au peuple les déclarations émanant du tribunal, peut par extension, crier également les déclarations officielles et les grands évènements de la commune, dans la rue, afin que nul n'en ignore le contenu.
En France, ce personnage truculent et coloré, personnalisé le plus souvent par le garde champêtre, a disparu de nos rues, au profit dans les villages du Sud, de vulgaires et inintelligibles haut-parleurs. Il réapparaît pourtant, dans nos villes et campagnes, le temps de manifestations folkloriques d'été. A ne pas confondre avec l'encanteur qui au Québec, désigne un commissaire priseur.
Complement internaute :
Il peut être également un officier de l'arme blanche qui délivre des dénonciations.
Ces dénonciations peuvent concerner :
-les faits de vandales (vols, cambriolages, meurtres)
-les délits (draguignades, cambriolages, vols, etc.)
-les délits de sang (homicides, meurtres, etc.)
-les délits de sang dans les rapports avec les autorités (faux témoignages, incendie criminel, etc.)
-les délits de droit commun (faux témoignages, dégradations, etc.)
-les délits de droit commun (faux témoignages, dégradations, etc.)
-les crimes de droit commun (faux témoignages, dégradations, etc.)
-les crimes de droit commun (faux témoignages, dégradations, etc.