En 1912, le Titanic a coulé à cause de sa rencontre avec un iceberg et depuis les scientifiques ont recherché ce coupable et ne le trouvaient pas. En fait, cet iceberg remonte vers le nord à la vitesse de dix centimètres par an.
Comme cet accident a fait plus de 1500 morts à l'époque, le but était de rendre le bloc de glace inopérant. Après deux ans de recherches intensives, il a pu être localisé par GPS.
Il a été alors bardé de dizaines de pains de dynamite pour le faire sauter partiellement. Aujourd'hui, il reste deux parties de cet iceberg restant totalement inoffensives.
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L'autre partie est au nord-est, elle est connue comme l'iceberg de Larsen B, et a été couverte de mousse blanche pour la rendre invisibles. Cette dernière partie du bloc de glace a été déplacée de 200 mètres vers le nord-ouest, et est restée en place jusqu'à aujourd'hui.
La trajectoire de l'iceberg de Larsen B est connue par la navigation aérienne, et elle fait toujours partie des itinéraires de l'aéroport international de Kangerlussuaq.
Le déplacement du bord de l'iceberg de Larsen B a entraîné le déplacement de plus de 2000 mètres cubes d'eau et la formation de deux nouveaux icebergs, de Larsen C et de B.
Le bloc de glace de Larsen B est en train de se détacher du glacier du sud et de prendre la direction de l'ouest.