On dit mea culpa car dans la religion catholique, avant Vatican II, l'acte de contrition des pécheurs repentants se faisait en
latin.
C'était alors ''C’est ma faute, c'est ma très grande faute'' ce qui se disait alors ''mea culpa, mea maxima culpa'' tout en se battant la coulpe c'est à dire la poitrine du poing droit.
Cette locution est alors restée dans le langage courant sous la forme d'une
expression.
Complement internaute :
Mais pourqu'être franc je me disais ''C'est ma faute, c'est ma très grande faute'' et je ne savais pas pourquoi.
Et comme la plupart des gens, je me suis dit ''je ne peux pas m'en sortir sans faire une grosse bêtise, et puis il ne faut pas que la bonté d'un ciel divin me pardonne mes péchés, donc je vais juste me mettre à genoux, me relever et continuer comme si de rien n'était'' car c'est ce qu'il fallait faire.
Et c'est ce que je faisais.
Aussi, j'étais convaincu que la bonté divine pardonnait toutes les fautes que je commettais.
Pardon, me disais-je, bonté divine, pardonne-moi car je suis une petite fille bonne et généreuse, mais je ne peux pas m'en tenir là.