Pourquoi un ''croque-mort'' s'appelle ainsi ?

Petite rectification au sujet de ce post:

Il n'a jamais été question de croquer l'orteil d'un défunt, l'homme a découvert le fer bien avant notre ère, s'il avait voulu faire mal en pressant un orteil, il n'aurait jamais utilisé ses dents. Hé oui, il s'agit là d'une légende urbaine.

Seconde correction :

Il existe bien deux hypothèses:
la première voudrait que le "professionnel" croquait le mort (faire disparaitre" en fermant la bière, le cercueil. d'où le terme "croque-mort".

La seconde veut que lors des épidémies de pestes qui ont fait ravage au 13ème siècle, une personne s'occupait d'amener les défunts à l'extérieur des villages dans els charniers de pestes, à l'aide d'un grand bâton crochu. Il était appelé le croche-mort. Ensuite, on l'appela le croque-mort.

Une legende dit que les croque mort son canibal

Cacher en ancien français se disait croc. Quelqu'un qui cachait les morts était un croc-mort. Et un mauvais musicien qui cachait des notes plutôt que de les sortir était un croc-notes.
(ceci dit, l'histoire de l'orteil est drôle)

Fin de votre explication
Il faut savoir que cette fonction de croque-mort, qui était considérée comme une vraie charge, au même titre que celle de bourreau, se transmettait de père en fils. Mais, il advint un jour dans un hameau que le croque mort du lieu mourût sans progéniture mâle. Sa fille ainée reprit donc sa charge, après réunion et aval favorable du conseil des sages du hameau.
Le premier présumé mort, dont on lui demanda de vérifier le décès, avait était atteint d'une grave maladie des membres inférieurs puis d'une gangrène, ce qui avait conduit les barbiers-chirurgiens de l'époque à l'amputer des deux jambes jusqu'à mi-cuisse. La jeune fille examina cette situation nouvelle sans se démonter pour autant et mordit avec précaution le premier membre inférieur qu'elle put trouver.
Ce fut à cette époque et dans ces circonstances très précisément qu'on abandonna le terme de croque mort pour le remplacer par celui de pompe funèbre.

Le point d'acupuncture 9, Coeur, est situé du côté externe de l'auriculaire, près de l'ongle. Une douleur intense va jusqu'au coeur s'il est pressé (surtout avec les dents). Il peut être utilisé, entre autre, contre les pertes de conscience.
Apparemment, pour s'assurer qu'une personne était vraiment morte, on pressait cet endroit, qui correspond à au pont d'acupuncture 9, Coeur.
La personne fut surnommée par la suite "croque-mort"

Mouahaha ! J'ai souri à l'idée que quelqu'un morderait l'orteil d'un mort, mais je me suis vraiment éclaté à l'histoire qui a suivi de la pompe funèbre ! Oh ! Que c'est drôle !

Tombé sur un cul-de-jatte, c'est devenu les pompes funèbres

Trop fort la définition des pompes funèbre mdr vivement que je casse ma pipe lol

Histoire - Une femme faisait ce métier de croque-mort. . . Un jour elle s'est trouvée avec un mort sans pieds. . . Alors, par défaut, elle a croqué un autre membre supposé sensible. . . Et c'est depuis ce jour que les croque-morts se nomment les " POMPES" funèbres. . . hi. . hi. . hi

L'origine du mot vient bien du fait que le croque mort devait mordre le gros orteil du défunt.

Un jour, l'un d'eux dut examiner un cul de jatte.

C'zst depuis qu'existent les pompes funèbres.

a que j'aime cette dernière séance bien particulière donc tout monde devrais jouir au moins une fois dans sa vie .

2e paragraphe : Passer l'arme à gauche. Je crois qu'il fallait plutôt dire : passer l'âme à gauche. Ce qui veut dire qu'au moment de la mort, l'âme est séparée de son corps.

Parce qu'il croque les morts

Parce qu'il et mort

Jusqu'au jour où le croque mort est tombé sur un cul-de-jatte, et depuis cette date on les appelle les pompes-funèbres . . . . . ho, ho !

@Nadia
passé l'arme à gauche, imaginé que je vous passe une lame à la hauteur gauche de la poitrine quelle organe je vais toucher ?
De ce fait dans la logique militaire le bouclier se porte du côté gauche.
C'est la même logique qui a poussé à contrarier les gauchers pendant des siècles, les outils étant prévus pour des droitiers il existait des vrais risques à les utiliser de la main gauche. Aujourd'hui encore les gauchers sont plus souvent victime d'accident du travail ou domestique que les droitiers.

Effectivement il croquait l'orteil du mort.
Ce metier passait de pere en fils, un jour le croque mort n'avait pas de fils mais une fille,
son premier client était un cul de jatte elle ne s

Ce metier passait de pere en fils seulement il n'avait pas de fils mais une fille, son premier client étant un cul de jatte elle pasait au premier membre qu'elle trouve.
depuis cela s'apelle les pompes funaibres

Au moyen-âge, la prhotographie n'ayant pas encore été inventée, l'employé chargé des funérailles "croquait" le mort, c'est à dire qu'il en faisait un portrait, un croquis en somme. D'où l'expression. Elle est pas belle l'imagination !

Depuis quelque siècles ce sont les Médecins qui constatent le décès, donc avant c'était aussi les personnes qui soignaient, (qui. . . . . . . . saignaient, ou mordaient l'orteil) les défunts, et à leur décès constataient leur mort.

Et les pompes funèbres !

L Y A UNE AUTRE EXPLICATION
Cette fonction passe de Père en Fils. Mais un jour le croque mort avait seulement un fille qui prit la fonction. Son premier mort , victime d'un accident n'avait plus de jambes. Elle mordit donc ce qui restait. Depuis du reste, Pompes funèbres a remplacé croque mort !

Jusqu'au jour où un "croque-mort" a eu affaire à un "cul-de-jatte"
il a dû alors mordre la partie la plus basse de son corps ! Depuis ce jour on parle de "pompe funèbre" !

Car au moyen age les homme qui enterait les personne pour voire si il était envie oupas il croquer leur pied pour savoirs si ils sont vivant

J'adore toutes les explication, mais j'ai une légère préférence pour le croquis bonne continuation

Il y avait un jour un cul de jatte et le croque mort n'a pas pu lui mordre l'orteil et c'est depuis que cela s'appelle maintenant les pompes funèbres.

Le croque mort croquait bien l orteil et ca se transmettait de pere en fils. jusqu a ce qu un n ai eu qu une fille, depuis ca s appele les pompes funebres. . . . .

En résumé, on ne sait pas qu'elle est la bonne explication. . . .
Quant à l'orthographe des commentaires, c'est plus que désastreux. . .

En gros !
si un jour ont rencontre quelqu'un de bien. . .
Il nous racontera "le truc"
:p
bonne soirée

Suivant cette version un "croque mort" qui a reçu un cul de jatte lui "mordit" ce que vous pensez :
Depuis nous avons les "POMPES FUNEBRES"

avez vous pense a une chose, s'il ne se lavez les pied une fois part mois, les microbes devaient faire fureur, bonne journée

Merci Don Piano, je ne savais pas ce qu, était un croc note que l, on trouve dans une chanson de Brassens.

Une coutume chez les Arméniens voulait que la personne qui était chargé de fermer les yeux au défunt, lui morde aussi un orteil.

Cette question est étrange . . . Elle fait limite froid dans le dos ! Mais l'orteil c'est marrant.

Croque mort à été remplacer par pompe funebre
funebre oui mais pompe
pourquoi faire des pompes ceremonial manifique
somptueux
ces trois mots veulle dire réjouissance
je pense que c'est un peu deplacer quand on et dans la peine

Je reviens sur ce que j'ai dit precedament en grande pompe
oui pour les riche qui autre fois faisait des sérémonie fastueise enguirlandait le devant des demeure avec de grand drap
des corbillards enguilardé
mais pour qui ces faste pour le mort
ou pour la famille qui se réjouisais de la fortune que le mort laissait le pauvre lui partait dans une charrette tiré à bras
tres bien votre cronique

Les croc mort était de pére en fils, jusqu'au jour ou il ont eu une fille.
A partir de là on les appele pompes funèbres

C'est quand même pas de sa faute à la petite si au premier défunt elle est tombé sur un cul de jatte ;)

Un jour, un croque mort eut à vérifier le décès d'un cul-de-jatte. Pas d'orteils ! Il mordit bien quelque chose. Depuis cela s'appelle pompe funèbre. :-))

Diparce qu'il y a tres longtemps la conservation cadaverique etait limitee. Pour savoir si une depouille etait vraiment depourvu de vie une personne mordait le pouce du pied du defunt afin de s'assurer que celui ci n'avait aucune reaction

Kévin, pour te répondre, le croque mort ne mordait pas le défunt pour lui faire mal . . , mais pour s'assurer que celui était bien dcd.

Jajouterais aussi ont peut dire le croque mitène
je pense que cetais pour faire peur au enfent qui savait du mal a dormir on leur disait si tu dort pas le croquemitène va te croqué . croque pour croquer et miténe pour les mites (mite a bois pour avoir croquer du bois) voila lexplication mais ya plusieur version anfin je dirais la plu simple

Jajouterais croquemitene aussi a lepoque pour faire dormir les enfant nerveux on leur disait si tu dort pas japelle le croquemitene
-croque pour croquer et mitene pour mite ( mite a bois. exemple les mite croqueuse de bois)

NADIA a raison et surtout ne votez plus à gauche sinon vous passerez l'âme à gauche.

Dans l'explication précédente on appelait cela un croc mitaine, car elle a croqué un doigt sensible.
Appuyez où cela fait mal !

Eh bien on en apprend ici !merci

Puis un jour les croque morts sont devenues les pompes funèbres: le mort était cul de jatte !

Un jour un croque mort est tombé sur un cul de jatte, C'est depuis ce moment que l'on parle de pompes funèbres.

Et un jour un homme sans jambe est mort. . . C'est ce jour là que naquit l'expression pompe funèbre. . .

En fait en 1788, peu avant la révolution des femmes étaient remplaçantes de croques-morts absents pour diverses raisons. . elle ne croquaient pas l'orteil mais pratiquaient un début de fellation au défunt . . . d'où l'appellation plus tard de "pompes funèbres". . . . mdr

J'avais l'intention de le lire mais les fautes d'orthographe m'ont fait y renoncer . K

J'ai toujours entendu dire que le "croque mort" mordait l'orteil du défunt pour vérifier qu'il avait trépassé.
Que ce soit une légende . . . . .

Aliette : on critique l'orthographe quand on est irréprochable en orthographe.
"Quelle est la bonne explication".

L'ortographe n'est pas donné a tout le monde !
le farfelu et le ridicule font légion !

Excellente explication !
honi soit qui . . .

Merci Shiatsu, je crois que tu as la bonne explication, c'est bien le 9 du coeur

Avant de faire des commentaires il faudrait apprendre le français !

Oui, j'ai appris cela aussi, que le "croque-mort" mordait le bout du petit doigt pour relancer le cœur, et même pas dans un cours de médecine chinoise. . je suppose que cela se pratiquait aussi en occident ! ?

Cette explication m'a l'air plus crédible, quelque soit l'époque, allez croquer des doigts de pieds, ça ne tient pas debout. . !

TU T éGARES MA PETITe

D'accord avec vous

Merci pour le sourire qu'a amené semperfidelis.
J'ai apprécié l'arrivée de la "Pompe funèbre".

En voilà un en tout cas, qui n manque pas d'imagination. petit coquin va . . .

Presly palmier le pd du 21eme siecle

Ìû Ïðèâåòñòâóåì Âàñ è âñåãäà æä¸ì íà ñâî¸ì ñàéòå. !

Stage A includes patients at risk for developing heart failure (such as patients with hypertension or CAD without current or previous symptoms or identifiable structural abnormalities of the myocardium).

Mon nom est la reponse a toute tes question

Croque-mort viendrait du fait que le préposé aux pompes funèbres lors de la mise en bière, croquait le corps du défunt pour le faire entrer dans le cercueil qui à l'origine n'était composé que de 4 planches donc très "ajusté".

Tu es le fils de dieu ou quoi

Èç ÷åãî èçãîòàâëèâàþò øêàôû äëÿ êíèã
Ñòåíà â ïðèõîæåé
 ýòîé ñòàòüå ÿ ïîñòàðàëñÿ ñæàòî ðàññêàçàòü îá îñíîâíûõ ìîìåíòàõ, íà êîòîðûå íåîáõîäèìî ñîñðåäîòî÷èòñÿ ïðè ïîêóïêå ìåáåëè. Òàê êàê ëþáàÿ ìåáåëü – ýòî íàáîð ìàòåðèàëîâ, àêñåññóàðîâ è ðàçäâèæíûõ (ðàñïàøíûõ ñèñòåì), ðàññìîòðèì êàæäóþ ïîçèöèþ ïî-îòäåëüíîñòè.
4. Äîñòóïíà è äîñòàâêà â ðåãèîíû ñòðàíû è ñòðàíû ÑÍÃ: âû ìîæåòå âûáðàòü òðàíñïîðòíóþ êîìïàíèþ ñàìîñòîÿòåëüíî è ñîîáùèòü àäðåñ åå ôèëèàëà â Ìîñêâå èëè ïîðó÷èòü ýòîò âîïðîñ íàì. Ìû îòãðóçèì òîâàð è âûøëåì íàêëàäíóþ, ïðè ïîëó÷åíèè êîòîðîé âû îïëàòèòå ìåæäóãîðîäíþþ ïåðåâîçêó. Äîñòàâêà òîâàðà ïî Ìîñêâå äî ñêëàäà òðàíñïîðòíîé êîìïàíèè îïëà÷èâàåòñÿ âàìè ïðè îôîðìëåíèè ïîêóïêè è âêëþ÷àåòñÿ â îáùèé ñ÷åò íà îïëàòó. Åùå 100 ðóáëåé âàì íåîáõîäèìî äîïëàòèòü çà îôîðìëåíèå äîêóìåíòîâ è ñäà÷ó ãðóçà ïðåäñòàâèòåëÿì òðàíñïîðòíîé êîìïàíèè.
Ìîæíî òàêæå ñîâåðøèòü âûãîäíóþ ñäåëêó ïðîñòî ïîìåñòèâ îáúÿâëåíèå âîçëå ëþáîãî ÂÓÇà. Òàê âû ïîìîæåòå ñòóäåíòàì ñ ïîèñêîì ìåáåëè. È ïðîäàäèòå ìåáåëü, íå ó÷àñòâóÿ â åå ïåðåâîçêå.


ïàíòîãðàô äëÿ øêàôà êóïå
âñå ðàâíî âñå êðàÿ óéäóò â ïàçû è íè÷åãî âèäíî íå áóäåò.

Êî âòîðîìó òèïó ìåáåëüíîé ôóðíèòóðû îòíîñÿò òàê íàçûâàåìóþ «ëèöåâóþ» ôóðíèòóðó. Ýòî òå ýëåìåíòû ìåáåëè, êîòîðûå íå òîëüêî âûïîëíÿþò ôóíêöèîíàëüíóþ íàãðóçêó, íî òàêæå ïðèäàþò èçäåëèþ ïðèâëåêàòåëüíûé âèä è èíäèâèäóàëüíûé ñòèëü.
Ãëóáèíà ìåñòà äëÿ óñòàíîâêè øêàôà.
À çàðÿäêó ìîæíî è íà äèâàíå ïîæåëàòü, à ìàññàæ, êàê ïðàâèëî, äåëàþò íà ñòîëå, íî íå íà êîìîäå ÿâíî (ÿ ïðî ìàññàæèñòîâ, ïðèõîäÿùèõ äîìîé)
Ìàòåðèàë êàðêàñà: òàìáóðàòî, øïîí ýáåíîâîãî äåðåâà.
Âûãîäíîå, óäîáíîå ïðèîáðåòåíèå äëÿ î÷åíü çàíÿòûõ äåëîâûõ ëþäåé, îíî ýêîíîìèò Âàøå âðåìÿ.


ïàíòîãðàô êóïèòü ìîñêâà
ÄÑÏ (ëàìèíèðîâàííûé) – ñàìûé øèðîêî ïðèìåíÿåìûé ìàòåðèàë, íå îòëè÷àåòñÿ ëó÷øèìè ñâîéñòâàìè, îäíàêî îí îáëàäàåò òàêèì äîñòîèíñòâîì, êàê íèçêàÿ ñòîèìîñòü. Îñíîâíîé âðåä äëÿ îðãàíèçìà íåñåò ñâÿçóþùåå âåùåñòâî, â êà÷åñòâå èñïàðåíèé âûäåëÿþòñÿ ôîðìàëüäåãèäû. Íî áëàãîäàðÿ ñîâðåìåííûì òåõíîëîãèÿì, ïðèìåíÿåòñÿ êðîìêîâàíèå, êîòîðîå ñíèæàåò êîëè÷åñòâî âðåäíûõ èñïàðåíèé. Äî êîíöà îíè âñå ðàâíî íå óáðàëèñü, ïîýòîìó ñóùåñòâóåò íåêîòîðûé ðèñê äëÿ çäîðîâüÿ.

ïóôèê èëè ñòóë;
øêàô êóïå ñ äâåðÿìè êóïå äåêîðèðîâàííûìè ïî òåõíîëîãèè ôüþçèíã.
 ëþáîì ñëó÷àå îðãàíèçàöèÿ âíóòðåííåãî ïðîñòðàíñòâà øêàô êóïå, íå ïðåäñòàâëÿåò êàêèõ-ëèáî ïðîáëåì, åñëè âû ÷åòêî çíàåòå, ÷òî âû õîòèòå îò íåãî. Îïûòíûå ïðîåêòèðîâùèêè âñåãäà ñìîãóò âàì ïîäñêàçàòü ïðàâèëüíûå ïóòè ðåøåíèÿ è ïðåäîñòàâèòü êâàëèôèöèðîâàííóþ êîíñóëüòàöèþ, êîòîðàÿ ïîìîæåò ïðèîáðåñòè øêàô, ïîëíîñòüþ îòâå÷àþùèé âàøèì òðåáîâàíèÿì. øêàô êóïå ñ äâåðè êóïå
Àíàëîãè÷íóþ ïðîöåäóðó ïðîâîäèì ñ äðóãîé ñòîðîíû, ñîåäèíÿÿ ëåâóþ âåðòèêàëüíóþ ïëàíêó (ðó÷êó) ñ âåðõíåé ãîðèçîíòàëüíîé ïëàíêîé.
íîæîâêà ïî ìåòàëëó;


ïàíòîãðàô äëÿ øêàôà êóïå
Èçäåëèÿ ñ ðàçäâèæíûìè äâåðÿìè áûâàþò ïîäâåñíûå è íèæíåîïîðíûå â çàâèñèìîñòè îò òîãî, êàêàÿ íàïðàâëÿþùàÿ íåñåò îñíîâíóþ íàãðóçêó: âåðõíÿÿ ëèáî íèæíÿÿ. Ò. å. ñäâèãàþùàÿñÿ â ñòîðîíó äâåðöà ëèáî ïîäâåøèâàåòñÿ, ëèáî îïèðàåòñÿ íà ÷òî-ëèáî. Íàïðàâëÿþùèõ ìîæåò áûòü è äâå îäíîâðåìåííî, íî ñóòè – ðàñïðåäåëåíèÿ íàãðóçêè – ýòî íå ìåíÿåò.

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@Semperfidelis_ Ton explication est si drôle, que je devrais dire : " Ta blague est . . . mortelle ! "

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Thanks

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Et devinez pourquoi les pompes funèbres s’appellent ainsi

Semperfidelis - C'est une explication assez drôle mais qui est également une légende urbaine ;-)
Pompe fait référence au faste d'une cérémonie (cérémonie en grandes pompes). . .

It always seems impossible until it's done

Et c'est à cette époque qu'est apparu la première vampire

?Crafting the Critical Analysis
A critical analysis (occasionally called a critique, critical summary, or book study) is regarded as a systematic analysis of an idea, textual content, or piece of literature that discusses its validity and evaluates its worth. A critical analysis usually contains a summary-a concise restatement of what a textual content says-and an evaluation-how properly it says it. A critical analysis in literature, for example, might possibly examine the style, tone, or rhetorical appeals of the textual content, although an analysis of the scientific paper can examine the methodology, accuracy, and relevance on the research.
A quality critique will consider the following questions
Who is the author, and what are his/her qualifications ?
What is the nature with the show results (type, purpose, intended audience) ?
What is its significance ? How does it compare to other material around the same subject ? By the same author ?
What is the author's thesis ?
What is the organizational plan or method ? Is it perfectly conceived ? Does it generate the author's objectives ?
What are the underlying assumptions ? Are they stated or do they lurk behind a stance of neutrality and objectivity ?
How do assumptions and biases affect the validity within the piece ?
Are arguments/statements supported by evidence ? Is the evidence relevant ? Sufficient ?
Is the author's methodology sound ?
What evidence or ideas has the author failed to consider ?
Are the author's judgments and conclusions valid ?
What rhetorical strategies does the author use ? Are they effective ?
A word about the thesis statement
Remember that no matter what format you follow in composing your critical analysis, it should have a thesis statement that establishes your technique to or opinion about the piece. Your thesis statement will not be the same since the original author's thesis statement. For example, say that the original author's thesis statement is “the moon is made of green cheese. ” Your very own thesis would be “the author's assertion that the moon is made of green cheese is ill-founded and is not really supported with adequate evidence. ”
Organizing the Critical Analysis
There are a wide selection of models for crafting a critical analysis. Some disciplines recommend breaking an analysis into two sections: The first of all section can provide a summary from the content for the do the job, even when the second section analyzes and evaluates the show results. Other disciplines, in contrast, favor a product in which the summary and analysis are smoothly integrated. See the reverse side for two serviceable (if unembellished) formats for a critical analysis. Also, remember that size can vary from the paragraph to several web pages.
Sample Critical Analysis - Two-Part Structure
Introduction

Section]
In “Nature Cannot be Fooled, ”