L'action de faire baptiser son bébé se nomme le baptême qui est un rite de croyance chez les chrétiens. La première des référence en matière de baptême est celle de Jésus Christ baptisé pat Jean-Baptiste dans le Jourdain. Il est dit chez les chrétiens que l'on ne nait pas chrétien mais qu'on le devient.
Le baptême est donc le sacrement commun aux églises chrétiennes pour qu'une personne ne connaisse qu'une seule foi, qu'un seul Dieu et qu'un seul baptême. Ainsi, les chrétiens ont pris pour habitude de faire baptiser leur bébé pour appeler la Grâce qui va placer l'enfant sur le chemin du salut et faire d'un pêcheur un enfant de Dieu.
Complement internaute :
En général, le baptême est effectué durant l'été. La date de la cérémonie est précisée par le calendrier catholique.
C'est au moment de la naissance ou du baptême que le père doit choisir un prénom qui ne sera plus modifié. Il faut choisir un nom qui est noble et qui peut être utilisé dans le baptême. Le nom choisi doit donc être en harmonie avec l'état d'esprit du futur baptisé. Par exemple, on ne baptise pas un enfant du nom de Jean-Luc alors que son père porte déjà le nom de Jean-Luc.
Les prénoms ne sont pas tous acceptés par les catholiques. Par exemple, le prénom de Noël n'est pas accepté par les catholiques. On peut aussi préférer un nom de famille plutôt que de donner un nom personnel. En effet, l'enfant sera toujours relié à son père et à sa mère.
Dado a commenté cette question :C'est faux,
On devient enfant de Dieu quand on confesse ses pêches et on crois à la mort de Jésus.
Le baptême n'a aucun effet sur l'enfant
JPTOU a commenté cette question :Ah oui la pêche. . à la ligne ?
C'est vrai que les enfants ne ressentent pas grand chose après. . .
Un commentaire qui ne sert à rien !
Fred a commenté cette question :J'ai toujours compris que le baptême des nouveaux-nées avait pour explication la forte mortalité infantile et cétait un moyen pour leur permettre daccéder au paradis.
C'est pourquoi au moyen age, on baptisait les jeunes bébé le plus tôt possible dans le cas ou l'enfant venait à mourir.