L'alcool est proscrit pendant la grossesse en raison des effets néfastes, non seulement sur le foetus, mais à long terme, sur le comportement de l'être en devenir. Les dégâts de toutes sortes provoqués par l'absorption massive et régulière de boissons alcoolisées en période prénatale ne sont plus à prouver.
Une récente étude, publiée par une équipe médicale canadienne, met en évidence que même à très faibles doses, soit moins d'un verre par semaine, les traces à long terme sont suffisantes pour perturber le fonctionnement cérébral ou physique de l'enfant. On constate par exemple, Une plus grande réactivité au
stress, provoqué par un taux anormal de Cortisol pouvant influencer le développement de pathologies mentales ou de dérèglements du système immunitaire.
Complement internaute :
L'alcool et ses dérivés, les alcoolisés, peuvent également altérer le développement de l'enfant dans les suites de leur utilisation pendant la grossesse. Ces effets se manifestent par la dépression du développement, la déviation du cerveau et des déficits cérébraux. De plus, l'alcool et ses dérivés, les alcoolisés, peuvent aussi perturber le développement de l'enfant dans les suites de leur utilisation pendant la grossesse. Ces effets se manifestent par la dépression du développement, la déviation du cerveau et des déficits cérébraux.
Les études montrent également que les enfants de mères alcoolisées sont plus susceptibles d'être victimes d'accidents et d'avoir des comportements problématiques, comme des problèmes d'apprentissage ou une tendance à l'agressivité.